Une de plus chaque jour (ou presque)
Premier choc : ce n’est pas heili heilo mais heidi, heido
Deuxième choc : c’est une gentille chanson à boire et pas un méchant chant de guerre.
HEILI, HEILO, HEILA
Ein Heller und ein Batzen, die waren beide mein,
Ja mein, der Heller war zu Wasser, der Batzen war zu wein,
Ja wein, der Heller war zu Wasser, der Batzen war zu wein.
un sou et un écu qui m’appartenaient tous deux
Le sou était pour l’eau et l’écu pour Le vin, oui Le vin,
Le sou était pour l’eau et l’écu pour Le vin.
Refrain : Heidi heido heida Heidi heido heida Heidi heido hei DA la la la la…
Heidi heido heida Heidi heido heida Heidi heido heida
Die Wirtsleut und die Mädel, die rufen beid: O weh! Die Wirtsleut,
Wenn ich komme, die mädel, wenn ich geh.
Le propriétaire et la servante disent tous deux : « O malheur ! »
Le propriétaire quand j’arrive et la servante quand je m’en vais.
Refrain
Mein’ strümpfe sind zerrissen, mein’ Stiefel sind entzwei,
Und draussen auf der Heiden, da singt der Vogel frei.
Mes bas sont effilés, mes bottes sont déchirés et,
dehors dans la bruyère, l’oiseau chante librement.
HEILI, HEILO, HEILA
Ein Heller und ein Batzen, die waren beide mein,
Ja mein, der Heller war zu Wasser, der Batzen war zu wein,
Ja wein, der Heller war zu Wasser, der Batzen war zu wein.
un sou et un écu qui m’appartenaient tous deux
Le sou était pour l’eau et l’écu pour Le vin, oui Le vin,
Le sou était pour l’eau et l’écu pour Le vin.
Refrain : Heidi heido heida Heidi heido heida Heidi heido hei DA la la la la…
Heidi heido heida Heidi heido heida Heidi heido heida
Die Wirtsleut und die Mädel, die rufen beid: O weh! Die Wirtsleut,
Wenn ich komme, die mädel, wenn ich geh.
Le propriétaire et la servante disent tous deux : « O malheur ! »
Le propriétaire quand j’arrive et la servante quand je m’en vais.
Refrain
Mein’ strümpfe sind zerrissen, mein’ Stiefel sind entzwei,
Und draussen auf der Heiden, da singt der Vogel frei.
Mes bas sont effilés, mes bottes sont déchirés et,
dehors dans la bruyère, l’oiseau chante librement.
Refrain
und gäb’s kein Landstrass nirgends, da säss ich still zu Haus,
Und gäb’s kein Loch im Fass, da tränk ich gar nicht drauss.
Et s’il n’y avait de route nulle part, je resterais tranquillement
à la maison et s’il n’y avait pas de trou dans le tonneau, je ne sortirai pas pour boire.
Refrain
War das ‘ne grosse Freude, als ihn der Herrgott schuf, ein Kerl,
Wie Samt und Seide, nur schade, dass er suff.
C’était une grande joie lorsque le seigneur dieu l’a créé,
Un gars en grande tenue, seulement dommage qu’il buvait.
Une info, une anecdote, une astuce...de plus que j'ai apprise dans la journée
1 Response to ce que racontait le primesautier "Heili,Heilo" de la Wehrmacht.
munier
novembre 30th, 2010 at 15 h 34 min
Pendant vingt cinq ans ,j’ai fréquenté la foire de Hanovre ,et les tavernes de la ville ,ou j’ai vite compris que cette chanson « nazie » était en réalité une chanson à boire …
Le troupier allemand ,n’était pas si différent du français ,il chantait le vin ,les jolies filles et la bonne bouffe …
Comme par exemple la Madelon chez les français .